Hassan K. - Isteghna - Cheap Satanism Records

Hassan K. - Isteghna
€16.66

In the initiatory spiritual missions specific to Iranian Shi’ism (Walâyat) and to the ancient and medieval Persians myths (Conference of the Birds), the Isteghna is a stage of detachment of necessary introspection for the understanding of alterity and sensitiveness, and more specifically, of the concealed imagination.

Written in 2020 during an all-too-familiar atmosphere of widespread collapse, this chivalrous album is, once again, born from a traditionalist desire : to bring back some love and orientalism to a world that has turned into a mirage.

"Our loneliness within this world isn’t a dead-end destiny, but rather a necessary dualitude”.
Henry Corbin, writing about L’Homme et son Ange.

Imaginal world, awoken nightmare, sensitive ecstasy, scholastic humour, "Isteghna" offers a psychedelic adventure within the occultness of the deepest self, in search of the Being of Light.

Straying away from folklore dominated by the binary kicks of contemporary oriental electro, HASSAN K transcends the fluctuant borders of Persian music.

As much a fiddler as an adamant defender of a free and open-source culture, polymath DIY artist… For more than 10 years, this solo artist has been boundlessly blending Persian rituals with new technologies, the West with the East, surf music with belly dancing, swing with cyber-metal, film scores with harsh noise... The multi-instrumentalist musician is a traditionalist who does not play around with folklore, but rather searches for the essence of a millennial culture, in order to offer it a second breath without ever deteriorating it.

Composed without any sample, note by note, click by click, just as would a Benedictine monk (Ishraq?), each album is an initiatory passage, a theosophical stage which narratively echoes the Iranian spiritual chivalry.

To finalize this journey, the musician must constantly assess the live restitution of an electronic piece which was thought within a studio. Hassan K crafts his tools, bends or upgrades traditional eastern instruments (electric sitar, sensors, robotized santoor) in order not to indefinitely linger within virtuality and to lead spectators towards a trance-like, intensively energetic live.

Dans les missions spirituelles initiatiques propres au chiisme iranien (Walâyat), aux mythes antiques et médiévaux perses (La Conférence des oiseaux), Isteghna est la phase du détachement, de l’introspection nécessaire à la compréhension du semblable, du sensible, mais plus particulièrement de l’imaginaire occulté.

Écrit en 2020 dans le climat particulier que l'on a tous connu, cet album chevaleresque est une fois de plus né d’une envie traditionaliste de remettre un peu d’amour et d’orientalisme dans un monde devenu mirage.

"Notre solitude au sein du monde n’est pas un destin sans issue, mais une dualité essentielle."
Henry Corbin, écrivant sur l’Homme et son Ange.

Monde imaginaire, cauchemar éveillé, extase sensible, humour scolastique, "Isteghna" propose un trip psychédélique dans l’occulte du Moi profond, à la recherche de l’être de Lumière.

Loin du folklore régi par les kicks binaires de l’electro-orientale actuelle, HASSAN K transgresse une musique perse aux frontières mouvantes.

Bidouilleur, fervent défenseur de la culture libre et open source, artiste DIY tout terrain… Depuis plus de 10 ans, le one man band mêle sans limites rituels perses et nouvelles technologies, occident et orient, surf musique et bellydance, swing et cybermetal, musique de film et harsh noise… Le musicien multi-instrumentiste est un traditionaliste qui ne joue pas avec le folklore, mais va chercher l’essence d’une culture millénaire pour lui donner un second souffle sans jamais la détériorer. Composé sans sample, note par note, clic par clic comme un moine bénédictin (Ishraq ?), chaque album produit est un passage initiatique, une étape théosophique qui, dans la narration, fait écho à la chevalerie spirituelle iranienne.

Pour finaliser ce cheminement, le musicien questionne constamment la restitution live d’une pièce électronique pensée en studio. Hassan K travaille ses outils, détourne ou augmente les instruments traditionnels orientaux (sitar électrique, capteurs, santoor robotisé) pour ne pas s’éterniser dans le virtuel et entraîner le public dans un live très énergique, à la limite de la transe.