The People Underground - Disconnected - Cheap Satanism Records

The People Underground - Disconnected
€1.49

THE PEOPLE UNDERGROUND are a duo based in Liège, Belgium.

Sharing a mutual love for MASSIVE ATTACK and NINE INCH NAILS, singer-songwriter CATHERINE and guitarist-producer JACQUES have been playing together since 2018. Though they may seem to come out of nowhere, they aren't new to the musical field. However, having nothing to hide doesn't necessarily mean one has everything to show, and rather than showing off on stage, they prefer to write songs in the studio (at least for the time being).

When they want to be really presumptuous, they like to describe their sound as "John Carpenter meets Cocteau Twins" – which is pretentious indeed, and yet somehow appropriate.

After a first digital EP on Cheap Satanism Records in December 2019, a music video to the song "Souls", and the double A-side "Love Your Neighbor" in June 2020, The People Underground are back with "Disconnected", on which they invited many guests: TONY WAKEFORD (SOL INVICTUS, CRISIS) on additional bass, and an international "choir" including CHRISTOPHE CRÉNEL, SEESAYLE, OLI SPLEEN, GAËTAN STREEL, KEVIN ROBERT THOMSON (ENABLERS, HAZEL ATLAS) and DOMINIQUE VAN CAPPELLEN-WALDOCK (BABY FIRE).

With its very 80's instrumentals and catchy choirs, Disconnected asks twenty-one "existential" questions, not unlike the ones found on the motivational posters that are so successful on social media – all the while suggesting more questions that many of us are asking ourselves during this global pandemic:

What will the world be like next?
Are we going to become better people?
Can we leave our habits behind?

Like its lyrics, the music video to Disconnected may or may not be taken seriously. Directed by NICOLAS MONFORT who went through hours of stock footage, it expresses the fear that maybe our society isn't ready to change in depth, and that "the world after" may be worse...

In the meantime, let's embrace Pina Bausch's formula:
"Dance, dance, otherwise we are all lost!"

THE PEOPLE UNDERGROUND est un duo basé à Liège, en Belgique.
Partageant un amour commun pour MASSIVE ATTACK et NINE INCH NAILS, CATHERINE et JACQUES composent et produisent à quatre mains depuis 2018. Bien qu'ils semblent sortir de nulle part, ils ne sont pas de nouveaux venus dans le petit monde de la musique alternative belge, mais n'avoir rien à cacher ne signifie pas nécessairement que l'on a tout à montrer, et aux projecteurs de la scène, ils préfèrent actuellement la pénombre du studio.

Quand ils veulent être vraiment présomptueux, ils aiment décrire leur son comme "John Carpenter rencontre Cocteau Twins" – ce qui est effectivement prétentieux et pourtant étrangement approprié.

Après un premier EP sorti chez Cheap Satanism Records en décembre 2019, assorti d'un clip pour le morceau "Souls", et le deux-titres "Love Your Neighbor" en juin 2020, The People Underground sort le single "Disconnected", pour lequel il s'est entouré de nombreux invités : TONY WAKEFORD (SOL INVICTUS, CRISIS) à la basse additionnelle, et une "chorale" internationale comprenant CHRISTOPHE CRÉNEL, SEESAYLE, OLI SPLEEN, GAËTAN STREEL, KEVIN ROBERT THOMSON (ENABLERS, HAZEL ATLAS) et DOMINIQUE VAN CAPPELLEN-WALDOCK (BABY FIRE).

Avec sa ligne instrumentale qui sent bon les années ‘80 et ses choeurs entêtants à souhait, Disconnected comporte vingt-et-une questions "existentielles", comme celles que l'on retrouve sur les panneaux motivationnels qui font le tour des réseaux sociaux, et laisse flotter, en filigrane, d'autres questions que nous sommes nombreuses et nombreux à nous poser en cette période de pandémie mondiale:

De quoi sera fait le monde d'après ?
Allons-nous devenir de meilleures personnes ?
Pouvons-nous laisser derrière nous nos habitudes ?

Comme son texte, le clip de Disconnected peut ou peut ne pas être pris au premier degré. Réalisé par NICOLAS MONFORT qui est allé puiser dans des banques d'images ce que celles-ci ont de plus lisse, il exprime la crainte que notre société n'est peut-être pas prête à changer en profondeur, et que le monde d'après risque d'être pire...

En attendant, approprions-nous la formule de Pina Bausch :
"Dansez, dansez, sinon nous sommes perdus"!